Les spécialités arts plastiques découvrent le cabinet Jean Bonna et les Beaux-Arts deParis
- Cité scolaire H. Wallon
- 23 juin
- 2 min de lecture

A deux reprises les élèves se sont rendus aux Beaux-Arts de Paris et y ont été accueillis
et guidés par Magalie Boucher, chargée de la médiation.
Première découverte des Beaux-Arts par la Chapelle qui renferme des trésors de copies
en plâtre ou peintes d’œuvres célèbres telle celle du jugement dernier par Michelange.
Ces copies étaient des exercices pour les élèves de l’école et sont encore dessinées par
les actuels étudiants.
Les conditions de cette visite ajoutent à se sentir privilégiés dans ce lieu riche en histoire.
La visite se poursuit par la traversée de la cour du mûrier, puis au Palais des Beaux-Arts.
Nous y découvrons alors Souvenirs de Jeunesse-Entrer aux Beaux-Arts de Paris 1780-
1980,
un ensemble de peintures et dessins d’artistes en train de se former à l’école.

C’était intéressant de voir leur grande maîtrise déjà et la manière dont ils utilisent et
réutilisent les supports. Cela a permis aussi de se poser la question de la manière dont on
pouvait accrocher des œuvres bidimensionnelles de façon originale, pour montrer le recto
et le verso par exemple.

La deuxième découverte fût liée à l’exposition Pierre Alferi dans le Cabinet des dessins
Jean Bonna,
il était un poète et dessinait d’abord pour lui. Le cabinet expose ses dessins car c’était un
ancien professeur de l’école. Dans ses dessins il mêle des figures et des styles différents
et inscrit toujours des mots, du texte.

C’est en lien avec le travail de Pierre Alféri que l’atelier de pratique s’est déroulé : en
dessinant avec un outil utilisé pour écrire, le stylo bille, il fallait créer une composition qui
combine images et lettres à partir de trois mots choisis par un camarade de classe.
Une activité très appréciée, les dessins créés sont très graphiques et parfois surréalistes !

Dernière découverte, dans l’exposition Chère Melpomène, présentée au Palais des Beaux
Arts on a découvert des œuvres très différentes, tant de mise en espace de l’image telle
celle de Nina Fiorentini ou encore celle de Frédérique Loutz qui faisait penser à nos
dessins au stylo bille, mais aussi des volumes originaux tels que les personnages « petites
lampes » de Liselor Perez.


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